Loin de lui l’idée de décorer la ville, l'espagnol Escif envisage ses peintures murales comme des prétextes à l’échange. Le contexte est pour lui l’un des ingrédients essentiels, l’imagerie qui s’en dégage étant avant tout au service du dialogue qu’il souhaite engager avec les passants.
Source : Bien Urbain